Tous le jours on va et retourne, on marche, on travaille, on étudie, on commence et on finit la journée. Mais pas souvent, c’est à dire, prèsque jamais on ne regarde qui est autour de nous, on ne regarde pas la ville, on ne regarde pas les détails, on veut seulement y arriver, chaque fois plus vite, avec un rythme barbare.
Sans regarder, sans faire attention aux choses plus simples, on perd les plus belles choses, comme les sourires des enfants, les couleurs de la nature dans les fleurs et dans les animaux, la beauté de l’architecture, la simplicité de l’air, enfin : on ne voit pas la vie! On ne la voit pas parce qu’on doit tout simplement travailler, comme une machine.
À ce moment-là, quand nous sommes très proches d ‘une nouvelle anée et plus encore du Noël, c’est un bon moment pour réflechir et repenser comment on conduit notre vie, parce que c’est important de travailler et gagner de l’argent, mais plus que ça, c’est excitant de s’enchenter chaque jour avec la vie, avec nous-mêmes.
domingo, 23 de janeiro de 2011
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